Ne vous impatientez pas, vous l'aurez !
Je n'ai pas pris le temps encore de la chercher dans mon "foutoir" de recettes en tous genres.
Ce n'est pas compliqué du tout (plus facile je trouve que les macarons !!) mais c'est long (et ch.ant !), surtout pour l'épluchage
(Après c'est juste une petite opération chaque jour pour le confisage pendant une petite semaine ! Le plus dur est de les garder entiers jusqu'à la fin ! Je ne vais pas faire un cours (Andy l'a déjà fait et très bien !) mais il existe plusieurs variétés de châtaigniers et certains ont des fruits quasiment sans séparation interne, ce qui facilite l'épluchage !
Quant à la combine du déshydratateur, je crains que ça ne convienne pas pour ce genre d'opération. Le fait de dessécher et réhumidifier le fruit, j'ai peur qu'il ne soit plus aussi moelleux au final et surtout qu'ils se cassent ! J'aime les marrons ENTIERS, pas les brisures avec lesquelles je fais de la crème de marron vanillée (autre délice !)
Tant pis Andy, merci quand même pour le "tuyau" et dis-nous si tu essaies, quels sont les résultats
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Je viens de faire une expérience tout à fait intéressante. J'avais au CONGELATEUR des châtaignes de l'an dernier, juste avec leur jupon. Je n'avais pas eu le courage de les déshabiller à fond à l'époque ! J'ai sorti le paquet et les ai d'abord laissées se décongeler. Puis direction le déshydrateur sans cette blessure sadique dont j'avais parlé lors de ma première expérience. Elles étaient donc entières. Je les ai chauffées 12 heures à environ 60°. Le déshabillage de toutes ces dames châtaignes a été un jeu d'enfant. Je les ai prises entre mon pouce, mon index et le majeur et le jupon est tombé sans accroc en petits lambeaux légers comme des petites plumes. Au passage j'en ai jetées beaucoup qui étaient véreuses. Ensuite je les ai trempées dans un bain d'eau tiède pendant encore 12 heures. Elles ont retrouvée leurs belles formes et volumes d'origine en se gorgeant d'eau.
La tite Leeloo a voulu en goûter une une, ce qu'elle a fait en s'écriant : "mais elle est pas cuite ! ".
Cependant elle a bien retrouvée le bon goût de châtaigne crue.
Reste plus qu'à les cuire et voir si elles s'éffritent...
Je persiste à croire que ma méthode est la meilleure car elle ne "traumatise" pas le fruit qui garde toute sa solidité. Ceci n'est qu'une hypothèse mais je vais bientôt la vérifier.